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mardi 6 janvier 2009

L'île aux sentiments.

Il était une fois, une île où tous les différents sentiments
vivaient : le Bonheur, la Tristesse, le Savoir, ainsi que tous les
autres, l'Amour y compris.

Un jour on annonça aux sentiments que l'île allait couler.
Ils préparèrent donc tous leurs bateaux et partirent.

Seul l'Amour resta.

L'Amour voulait rester jusqu'au dernier moment.
Quand l'île fut sur le point de sombrer, l'Amour décida d'appeler à
l'aide.

La Richesse passait à côté de l'Amour dans un luxueux bateau.

L'Amour lui dit, "Richesse, peux-tu m'emmener?"

"Non car il y a beaucoup d'argent et d'or sur mon bateau. Je n'ai pas
de place pour toi."

L'Amour décida alors de demander à l'Orgueil, qui passait aussi
dans un magnifique vaisseau, "Orgueil, aide-moi je t'en prie !"
"Je ne puis t'aider, Amour. Tu es tout mouillé et tu pourrais
endommager mon bateau."

La Tristesse étant à côté, l'Amour lui demanda, "Tristesse,
laisse-moi venir avec toi."

"Ooh... Amour, je suis tellement triste que j'ai besoin d'être
seule !"

Le Bonheur passa aussi à coté de l'Amour, mais il était si heureux
qu'il n'entendît même pas l'Amour l'appeler !

Soudain, une voix dit, "Viens Amour, je te prends avec moi."
C'était un vieillard qui avait parlé.

L'Amour se sentit si reconnaissant et plein de joie qu'il en oublia
de demander son nom au vieillard. Lorsqu'ils arrivèrent sur la terre
ferme, le vieillard s'en alla.

L'Amour réalisa combien il lui devait et demanda au Savoir

"Qui m'a aidé ?"

"C'était le Temps" répondit le Savoir.

"Le Temps ?" s'interrogea l'Amour.

"Mais pourquoi le Temps m'a-t-il aidé ?"

Le Savoir, sourit plein de sagesse, et répondit :

"C'est parce que seul le Temps est capable de comprendre combien
l'Amour est important dans la Vie."

dimanche 16 novembre 2008

Les cailloux de la vie

Un jour, un vieux professeur de l'École Nationale d'Administration
Publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur la
planification efficace du temps à un groupe d'une quinzaine de
dirigeants de grosses compagnies nord-américaines.

Ce cours constituait l'un des 5 ateliers de leur journée de
formation. Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "faire
passer sa matière ".

Debout, devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout
ce que l'expert allait lui enseigner), le vieux prof les regarda
un par un, lentement, puis leur dit : "Nous allons réaliser une
expérience".

De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof
sortit un immense pot de verre de plus de 4 litres qu'il posa
délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine
de cailloux a peu près gros comme des balles de tennis et les plaça
délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut
rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou
de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda :

"Est-ce que ce pot est plein?".

Tous répondirent : "Oui".

Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment ?".

Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un
récipient rempli de gravier. A
vec minutie, il versa ce gravier sur
les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de
gravier s'infiltrèrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot.

Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et
réitéra sa question :

"Est-ce que ce pot est plein?". Cette fois, ses brillants élèves
commençaient à comprendre son manège.

L'un d'eux répondît: "Probablement pas !".

"Bien !" répondît le vieux prof.

Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table
un sac de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot.
Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le
gravier. Encore une fois, il redemanda : "Est-ce que ce pot
est plein ?".

Cette fois, sans hésiter et en choeur, les brillants élèves
répondirent :

"Non!".

"Bien!" répondît le vieux prof.

Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le
pichet d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'a ras
bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda :

"Quelle grande vérité nous démontre cette expérience? "

Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce
cours, répondît : "Cela démontre que même lorsque l'on croit que
notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment,
on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire ".

"Non" répondît le vieux prof. "Ce n'est pas cela. La grande
vérité que nous démontre cette expérience est la suivante :

"Si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot,
on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite".

Il y eut un profond silence, chacun prenant conscience de
l'évidence de ces propos.

Le vieux prof leur dit alors : "Quels sont les gros cailloux
dans votre vie ?"

"Votre santé ?"

"Votre famille ?"

"Vos ami(e)s ?"

"Réaliser vos rêves ?"

"Faire ce que vous aimez ?"

"Apprendre ?"

"Défendre une cause ?"

"Vous relaxer ?"

"Prendre le temps... ?"

"Ou... tout autre chose ?"

"Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS
CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas
réussir... sa vie. Si on donne priorité aux peccadilles (le gravier,
le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus
suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants
de sa vie.


Leçon passée, d'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son
auditoire et quitta lentement la salle.

Christian Godefroy, www.club-positif.com





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dimanche 2 novembre 2008

La jarre abîmée

La jarre abîmée

Un porteur d'eau indien avait deux grandes jarres, suspendues aux 2 extrémités d'une pièce de bois qui épousait la forme de ses épaules.

L'une des jarres avait un éclat, et, alors que l'autre jarre conservait parfaitement toute son eau de source jusqu'à la maison du maître, l'autre jarre perdait presque la moitié de sa précieuse cargaison en cours de route.

Cela dura 2 ans, pendant lesquels, chaque jour, le porteur d'eau ne livrait qu'une jarre et demi d'eau à chacun de ses voyages. Bien sûr, la jarre parfaite était fière d'elle, puisqu'elle parvenait à remplir sa fonction du début à la fin sans faille. Mais la jarre abîmée avait honte de son imperfection et se sentait déprimée parce qu'elle ne parvenait à accomplir que la moitié de ce dont elle était censée être capable.

Au bout de 2 ans de ce qu'elle considérait comme un échec permanent, la jarre endommagée s'adressa au porteur d'eau, au moment où celui-ci la remplissait à la source.

« Je me sens coupable, et je te prie de m'excuser.

- Pourquoi, demanda le porteur d'eau, de quoi as-tu honte ?
- Je n'ai réussi qu'à porter la moitié de ma cargaison d'eau à notre maître, pendant ces 2 ans, à cause de cet éclat qui fait fuir l'eau. Par ma faute, tu fais tous ces efforts, et, à la fin, tu ne livres à notre maître que la moitié de l'eau. Tu n'obtiens pas la reconnaissance complète de tes efforts, lui dit la jarre abîmée.


Le porteur d'eau fut touché par cette confession, et, plein de compassion, répondit: « Pendant que nous retournons à la maison du maître, je veux que tu regardes les fleurs magnifiques qu'il y a au bord du chemin ».
Au fur et à mesure de leur montée sur le chemin, au long de la colline, la vieille jarre vit de magnifiques fleurs baignées de soleil sur les bords du chemin, et cela lui mit du baume au coeur. Mais à la fin du parcours, elle se sentait toujours aussi mal parce qu'elle avait encore perdu la moitié de son eau.
Le porteur d'eau dit à la jarre :

« T'es-tu rendu compte qu'il n'y avait de belles fleurs que de ton côté, et presque aucune du côté de la jarre parfaite ? C'est parce que j'ai toujours su que tu perdais de l'eau, et j'en ai tiré parti. J'ai planté des semences de fleurs de ton coté du chemin, et, chaque jour, tu les arrosais tout au long du chemin. Pendant 2 ans, j'ai pu grâce à toi cueillir de magnifiques fleurs qui ont décoré la table du maître. Sans toi, jamais je n'aurais pu trouver des fleurs aussi fraîches et gracieuses. »


Morale de l'histoire:

Nous avons tous des éclats, des blessures, des défauts. Nous sommes tous des jarres abîmées. Certains d'entre nous sont diminués par la vieillesse, d'autres ne brillent pas par leur intelligence, d'autres trop grands, trop gros ou trop maigres, certains sont chauves, d'autres sont diminués physiquement, mais ce sont les éclats, les défauts en nous qui rendent nos vies intéressantes et exaltantes.

Il vaut mieux prendre les autres tels qu'ils sont, et voir ce qu'il y a de bien et de bon en eux. Il y a beaucoup de bon et de positif partout. Ceux qui sont flexibles ont la chance de ne pas pouvoir être déformés.

Souvenez-vous d'apprécier tous les gens si différents qui peuplent votre vie ! Sans eux, la vie serait bien triste.


Christian GODEFROY

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vendredi 20 juin 2008

La valeur

La valeur

Un conférencier bien connu commence son séminaire en tenant bien haut un billet de 50 euros.
Il demande aux gens :
«Qui aimerait avoir ce billet ?»
Les mains commencent à se lever, alors il dit :
«Je vais donner ce billet de 50 euro à l’un d’entre vous, mais avant laissez-moi faire quelque chose avec.»
Il chiffonne alors le billet avec force et il demande :
«Est-ce que vous voulez toujours de ce billet ?»
Les mains continuent à se lever.
«Bon, d’accord, mais que se passera-t-il si je fais cela.»
Il jette le billet froissé par terre et saute à pieds joints dessus, l’écrasant autant que possible et le recouvrant des poussières du plancher. Ensuite il demande :
«Qui veut encore avoir ce billet ?»
Evidemment, les mains continuent de se lever.
«Mes amis, vous venez d’apprendre une leçon ... Peu importe ce que je fais avec ce billet, vous le voulez toujours parce que sa valeur n’a pas changé, il vaut toujours 50 euro.»
«Alors pensez à vous, à votre vie. Plusieurs fois dans votre vie vous serez froissé, rejeté, souillé, par les gens ou par les événements. Vous aurez l’impression que vous ne valez plus rien, mais en réalité, votre valeur n’aura pas changé aux yeux des gens qui vous aiment !»

Voici ce que cette histoire m’a inspiré et ce que je puis vous dire :

Si la vie n’a pas toujours été tendre avec vous, si les épreuves, les échecs, les contre temps vous ont rendu la vie difficile, sachez que vos qualités restent les mêmes, vos capacités sont réelles et quoi qu’il arrive, votre potentiel demeure toujours intact!
Christian Godefroy



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vendredi 2 mai 2008

Une vieille dame au restaurant

Une vieille dame s'arrête un soir dans un restaurant d'autoroute. Elle va au self et prend une soupe chaude, puis va s'asseoir toute seule à une table. Elle se rend compte qu'elle a oublié de prendre du sel. Elle se lève, erre un peu dans le restaurant avant d'en trouver, et retourne à sa table.
Mais en revenant, elle y trouve un noir assis, qui plonge sa cuillère dans le bol de soupe et la mange lentement. "Oh! Il a du culot ce noir! pense la brave dame. Je lui apprendrais bien les bonnes manières "
Mais elle s'assied sur le côté de la table, et charitablement le laisse manger un peu de sa soupe. Tirant un peu le bol à elle, elle plonge sa cuillère elle aussi, cherchant à partager au moins cette soupe avec lui. Le noir retire doucement le bol vers lui, et continue de manger. La dame se remet à le tirer légèrement vers elle, pour pouvoir y avoir accès. Et ils finissent la soupe ainsi. Alors le noir se lève, lui fait signe de patienter, et revient avec une portion de frites énorme, qu'il partage avec elle, comme la soupe.
Enfin ils se saluent, et la dame part aux toilettes. Mais quand elle revient, elle veut prendre son sac pour partir, et découvre qu'il n'est plus au pied de sa chaise.
"Ah! J'aurais bien dû me méfier de ce noir!". Elle hurle dans tout le restaurant, criant au voleur, jusqu'à ce que finalement on retrouve son sac, posé au pied d'une table où repose un bol de soupe refroidie... SON bol auquel personne n'a touché.
C'était elle qui s'était trompée de table et avait partagé le repas de l'homme!

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"Le coeur de l'homme est son paradis ou son enfer."

Jean-Jacques Rousseau



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